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A monkey lover

13 août 2013

Why I qui Facebook !

Parlons d'autres choses, aujourd'hui je veux me focaliser sur facebook le first online social Networking service. 

Pourquoi on s'inscrit ? Les points positifs ? Peut on s'en passer ? Pourquoi ? 

 

Facebook est un outil facile à utiliser permettant de retrouver des amis de longue date. Nos souvenirs s'éclaircissent en quelques clics et le sentiment d'un passé engouffrant les mystères du devenir d'anciens contacts se dissipe rapidement. Je pense à nos ancêtres qui autrefois se limitaient a des lettres manuscrites ou a une photo noir et blanc d'un ami et laissaient libre court a leur imagination en songeant a ce qui l'est pu devenir... Il y a du charme dans ceci et parfois je regrette d'avoir céder a la tentation de m'être inscrite sur facebook. 

Ayant vécu sur trois continents, j'ai changé d'écoles a plusieurs reprises. Facebook était pour moi l'occasion de retrouver des vrais amis perdu de vu. Mais très vite, j'ai commencé a accepter ou ajouter d'autres camarades de classe sans réfléchir. Au final, je me suis retrouvée avec presque 300 amis. Je ne peux même pas expliquer pourquoi j'ai agi de telle sorte; l'effet mouton sans doute. 

Ce n'est que maintenant (4 ans plus tard) que j'ai décidé de comprendre quel intérêt j'avais a être inscrit. Est-ce des informations indispensables ? Je n'ai pas 300 amis ? Quelle valeur attribuée a la vie privée ? Facebook nous renvoie-t-il pas un reflet d'un monde virtuel ou tout le monde cherche à plaire ? 

J'ai commencé cette analyse cet été en visualisant les photos de vacances que postaient mes "amis" facebook. Ca m'a frappé, moi qui me renseigner sur la vertu de la modestie. Je ne comprenais pas l'objectif d'une telle concurrence de vouloir à tout prix se démarquer en mettant les photos les plus exotiques. On cherche à plaire et à être vu. J'ai lu un article qui montrait que facebook permettait de stimuler la confiance en soi. 

De plus, je me rappelle d'avoir eu des contacts qui publiaient régulièrement ce qu'ils faisaient quotidiennement. C'était un journal intime tordu dans le sens ou ce sont des informations personnelles mais visibles par tous. Et la je dénonce le cote narcissique de facebook. J'avais une amie de longue date que j’appréciais qui était sujette à un tel comportement. C'est épuisant et inintéressant malgré tout le respect que j'ai pour elle. D'ailleurs, je regrette d'avoir connu ce coté d'elle. 

Enfin, j'ai enlevé facebook principalement pour 4 raisons :

1- je ne publiais jamais. Je n'ai rien a prouvé. Je vie pour moi. Mes vrais amis ont mon numéro et email.

2- l'idée d'avoir accès à des informations personnelles m'insupportait (car dans ma théorie, les personnes n'agissent pas librement et peuvent passer des années à publier comme la masse sans se remettre en question)

3- facebook m'a permis de retrouver des anciens amis et ca a pris une semaine donc plus de raison de continuer d'être dessus 

4- Enfin, ma vie a changé et je ne veux pas tout mélanger. Le temps va dans un sens, il y a bien une raison. 

 

 

Voila , c'est mon ressentiment sur facebook. Il y a bien d'autres arguments dont les controverses liés aux parametres de confidentialités, addiction, la différence entre etre devant une personne et un mur...

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7 juin 2013

auto-handicap ou l'art de se mettre les batons dans les roues ?

Last year, I had a class of behavioral psychology that I found very interesting. I learnt things that I wasn't going to learn anywhere else. We talked about addictions, schizophrenia, evolutionary psychology ... I remember thinking about how smart and interesting were our professors. 

So yesterday, I was thinking about psychology and came across this video on youtube about: self-handicapping. It's funny how I've never heard about this notion but experienced it myself several times.

So, what is self-handicapping?

Well, it’s an ego defense mechanism where we use excuses to protect our self-esteem. It's an unconscious way of utilizing obstacles to keep us from facing our incompetence in front of a task. It's a theory described by Edward E. Jones and Steven Berglas.

There are two methods that people use to self-handicap: behavioral and claimed self-handicaps. People withdraw effort or create obstacles to successes so they can maintain public and private self-images of competence.

 

A lot of students experience this without knowing it has a name and could have damaging effects on the long run. If we protect our self-image with rational excuses, we will feel better and guilty-free. However, a chronic use of this self-handicap weapon will lead to poor academic performance. The student will keep having worst grades than if he had given his best shot. 

Thus, he'll never know what he's really worth and how he could improve effectively his performance. 

 

 

 

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